Bien que mon esprit est accepté l'inéluctable,
Otant ainsi à mon espoir toutes velléités d'exister,
Un conflit en mon sein s'est déclaré.
Il se trouve, que mon corps résiste péniblement.
Le feu me ronge, intérieur et puissant,
La fournaise se nourrit de mes entrailles.
Or, je sens petit à petit, toutes mes forces
Naturelles s'échapper de mon être.
Non!! ce combat futile me semble vain!
Et je ne comprend vraiment pas pourquoi
Mon corps lutte; il serait pourtant si facile,
Et si confortable de se laisser choir
Ne voyant pas d'échappatoire, j'espère
Trouver bientôt la sérénité tant désiré.





********** testament du professeur Edouard Charles Hinal-Osvald **********